Brainwashed

pour signaler que :
- primo y'a toujours des gros pervers qui viennent sur ce blog avec des recherches bizarres, genre "mots vulgaires pendant l'amour".  (en plus pour avoir besoin d'aller sur internet pour trouver des mots vulgaires... comment ça c'est moi qui suis particulièrement vulgaire? je t'emmerde, lecteur de mon cœur)
- secundo y'a encore des gens qui viennent régulièrement sur ce blog alors que ça va faire un an que y'a marqué en gros au début qu'il est fermé. vous êtes encore + cons que je croyais. c'est dire.
- triso(mique) : c'était juste pour faire la blague, y'a pas de tertio en fait. on est le 14 juillet et je suis privée de feu d'artifice alors faut pas trop m'en demander (je suis une grande enfant)(qui t'encule).

ma soeur décide de relancer son blog, moi je décide de fermer le mien.

voilà petit lecteur, (sup)porte toi bien, bonne continuation, etc etc...

En essayant continuellement, on finit par réussir. Donc:  plus ça rate, plus on a de chances que ça marche.

ouais bah là jsuis en partiel.
même qu'on se tape des sujets d'enc*lé (la lettre qui manque c'est un u)(je pense à mes lecteurs cons tavu)
même que fantomette (ma fantôme perso. mais si, try to remember...) me suit pendant mes épreuves et planque mon critérium quand j'en ai besoin (définitivement une pute, celle là)
même que tout ceci me rend passablement vulgaire (ah, t'avais remarqué?)

Alors s'il vous plaît, je vous en prie...
(ceci est une référence littéraire, à toi de retrouver laquelle) 

"l'amour commence avec le vagissement du nouveau-né lorsque, quittant brutalement la poche des eaux maternelles, il sent tout à coup le vent froid du monde et qu'il commence à respirer, seul, tout seul, pour lui-même, jusqu'à la mort. Heureux celui que le bouche à bouche parfois vient assister."

(Henri Laborit - Eloge de la fuite)

http://www.viedemerde.fr/

et paf. nouvelle recherche : blogs sex. et chez qui on arrive? chez bibi.

j'vous jure...

Je pourrais dire qu'avoir le vertige c'est être ivre de sa propre faiblesse. On a conscience de sa faiblesse et on ne veut pas lui résister, mais s'y abandonner. On se soûle de sa propre faiblesse, on veut être plus faible encore, on veut s'écrouler en pleine rue aux yeux de tous, on veut être à terre, encore plus bas que terre.

(Milan Kundera - L'insoutenable légèreté de l'être)

Celui qui veut continuellement "s'élever" doit s'attendre à avoir un jour le vertige. Qu'est-ce que le vertige? La peur de tomber? Mais pourquoi avons-nous le vertige sur un belvédère pourvu d'un solide garde-fou? Le vertige, c'est autre chose que la peur de tomber. C'est la voix du vide au-dessous de nous qui nous attire et nous envoûte, le désir de chute dont nous nous défendons ensuite avec effroi.

(Milan Kundera - L'insoutenable légèreté de l'être)